samedi, 03 novembre 2007
7 étroit
Drei Augen
Wie Zigeuner die es gern hätten
Möwen zu sehen in den Städten
Wie Roboter das Laufen lernen
Die sich von niemandem kaufen lassen
De guerre lasse.
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28 octobre. Pour se promener on se promenait. D'aventure on tombe sur divers lieux, variés immeubles même pas transis, avec même des signaux hostiles. On prend le large, mais ce n'est jamais le bitume. Si on croise un visage tendre, on n'a pas le temps d'entendre sa prière. Les cheveux galopent, alors c'est joué d'avance.
19:05 Publié dans Kleptomanies überurbaines | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Photographie, Ligérienne, écriture
Commentaires
Personne ne réagit? J'aurais pourtant cru que Didier s'engouffrerait dans cette brêche. Je vais me dévouer pour apporter une fois de plus la preuve du bon goût français.
Donc: c'est l'histoire d'un fraîchement marié qui envoie un télégramme à un ami: 7 et 3, 13 et 3.
L'ami répond: si 7 et 3, 7 et 9.
Écrit par : Zette | dimanche, 04 novembre 2007
Jamais je n'aurais osé dire des cochonneries pareilles ! Pour qui me prend-on, par ici ?
Écrit par : Didier Goux | dimanche, 04 novembre 2007
Grossiers personnages !
Écrit par : Pseudo-Aurélie | dimanche, 04 novembre 2007
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