dimanche, 20 avril 2008
17 avril, point de lendemain
Le temps que le vent laisse filer l'ombre, se mettre à couvert sous de chaudes frondaisons.
Les Armes miraculeuses : livre lu, dans la difficulté et l'épanouissement, vers seize ans. Le Cahier d'un retour au pays natal reste moins chargé d'émotion, de douceur comme de douleur, au moins dans ma mémoire. Peut-être est-ce en l'honneur d'Aimé Césaire que j'envisageai un jour d'arpenter le terrain de la mêmoire.
Point besoin d'aller folâtrer avec les chantres de la tigritude ; la poésie, seul combat, suffit.
09:16 Publié dans Blême mêmoire | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.