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lundi, 11 janvier 2010

Image d'un août pénultième

Route de Lacrabe, 12 août 2008, i

( Hommage à  E. R. )

 

Babioles et colifichets

(Est-ce le lapsang souchong qui stimule l'envie d'écrire, ou l'écriture qui s'agrémente d'un bonne grosse théière de thé fumé ? Toujours la poule et l'oeuf...)

 

J'aime les pièces froides des maisons par ailleurs chauffées. [Satie, mais par Ciccolini.]

Je n'aime pas l'odeur du maquereau citronné telle qu'elle imprègne durablement une cuisine refroidie. J'aime (beaucoup) le sandwich qui combine les filets de maquereau chauds, dans leur jus, et le pain d'épeautre.

 

-------- Achevé la lecture de The Other House, terrible et magnifique opus méconnu du corpus jamesien qui m'a donné envie d'écrire un petit quelque chose à son sujet.

Un drame de la parole donnée.

Ironie pugnace.

Infamie, perversité.

(Pour plus tard, toujours plus tard.)

 

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tiens ! déjà la neige !!!

 

Pastiche ?

Rentré du travail vers onze heures, car, demi-grippé, je pensais me sentir mieux à la maison pour accomplir mes diverses tâches (dont la correction des derniers devoirs (exécrables) de 1ère année, allongé même, si difficile autrement), mais me retrouve à baguenauder sur le Web, et notamment, pris à la longue par le remords (et parce que David Farreny, excellent photographe et webmestre plus accompli encore, m'a gentiment relancé), à contribuer enfin à l'Index général Renaud Camus, dans lequel je me suis engagé à renseigner les noms de personnes et de lieux du Journal d'un Voyage en France, ouvrage que j'aime énormément et que je me retrouve à feuilleter avec plaisir. Il se trouve aussi que, mieux qu'en lisant, je bouche les innombrables trous de ma pauvre culture ; ainsi, le vicomte Joseph-Alexis Walsh, qui n'a pas même une entrée dans la Wikipedia, m'a donné du fil à retordre. Ce fut plus facile avec Sam Wagstaff, que, par coquille redoublée du texte et de l'index, Renaud Camus orthographie Wegstaff. (Or, si la mauvaise orthographe résonne de manière très germanique, la bonne graphie du patronyme, plus anglo-saxonne déjà, est assez hilarante : le verbe wag signifie "agiter, remuer", et staff peut se traduire par "bâton". (Je m'avise d'ailleurs qu'un passereau, probablement la bergeronnette, se dit wagtail, en anglais.))

Voilà à quoi fuit la fin de mon lundi matin... C'est sérieux, je vous jure.

(Oui, c'est sérieux.)