mercredi, 04 août 2010
Boulevards de ceinture, 130
Les voix de Murraille et de Marcheret semblent provenir d’un disque qui tournerait au ralenti. Elles s’étirent, dérapent, s’engluent dans une eau noire.
Ainsi (et je ne dis pas cela par abus technique) des mots qui s'étirent, gravés d'une main lasse, ou des transcriptions au microphone (dragon dictant du feu à tout perdre, sans tout férir).
12:29 Publié dans Questions, parenthèses, omissions | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.