samedi, 11 juin 2011
L'Allègre
Lassé par d'autres âpretés, vous renoncez aux climats. Ce n'est pas au Mercantour, ni dans le Limousin que vous avez vu venir la victoire. Prise au dépourvu, la meute a donné de la voix, mais ce sont toujours les mêmes ondées, les mêmes nuages secs, les mêmes rosiers cabotins qui s'éternisent sur des pentes gravillonneuses. D'où que viennent les voix, vous ne parvenez à les entendre qu'étouffées. Si le mâle dominant est comme vous, il vous faudra rencontrer de nouveaux échecs, et, après les climats, renoncer aux humeurs.
02:00 Publié dans Un fouillis de vieilles vieilleries | Lien permanent | Commentaires (0)
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