lundi, 25 juillet 2011
Noirs acolytes
Le premier mot me manquait pour qualifier la seule réalité que j'aie, sinon à proprement parler connue, du moins endurée en personne. Mais il se tenait sans doute quelque part, avec ses maigres, ses noirs acolytes, et il valait la peine, si donc il se pouvait, de mettre la main dessus.
(Pierre Bergounioux. Le premier mot. Gallimard, 2001, p. 45)
En novembre, nous entendîmes Vassilis Alexakis, venu parler de son roman Le premier mot. (Tout se dédouble, même la primeur.)
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