mardi, 13 septembre 2011
Bribes, brimborions, bornes
17 onglets ouverts dans Google Chrome, des chevauchements des galaxies (et des chevauchements de galaxies : sons, images, mots, textes, parures, évidences). Improvizone en avril 2010, Kenneth Burke en 1966, mon fils peut jouer tranquille, après la cantine, au 1000 Bornes (vu la pluie, c'est ce que j'imagine).
À midi, après le passage du facteur, j'ai écrit : "Toutes les heures un brimborion.". Une heure auparavant, lancé dans les épigraphes, j'avais noté : "Le dos en compote, I go on hammering away at my course on Roth's AP. (Tuesday, phew's-day.)". Dans la matinée, j'ai participé à une discussion, laquelle suit un fil souvent tiré ici. Ce matin aussi, après être rentré de l'école, j'ai lu l'article consacré à Crossbones dans le New York Times, et n'ai pu m'empêcher de m'exclamer (toujours par écrit) :
Someone who writes incoherent sentences ought not to be allowed to tax Nuruddin Farah with "inconsistent plotting" and "verbose narration". Hirsh Sawhney, you missed the whole point.
Entre 4 murs je m'archive moi-même. Et m'échine ---- pourquoi ??
14:22 Publié dans Affres extatiques, Chèvre, aucun risque, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)