mardi, 22 novembre 2011
2211 / Atermoiements de la morue
Valse hésitation entre utopie et dystopie.
Un livre qui m’a beaucoup marqué : Wittgenstein’s Mistress de David Markson. Il faut en faire la remarque. Ce n’est pas rien.
Donc j’hésite.
La chatte, elle, après une longue séance d’autoléchage sur la chaise blanche, est retournée sur le sofa, pour y dormir.
Comme je m’ennuie dans mon palais, je me repasse La Terre, le très beau film de Zahari Zhandov. Perhaps that was why they were there because it was a place where some fellows wrote things for cod. But all the same it was queer what Athy said and the way he said it. It was not a cod because they had run away. He looked with the others across the playground and began to feel afraid. Pour tenter de me convaincre de l’urgence de la tâche qu’il me confie, Numance me relance quotidiennement. Aujourd’hui, il a mis en pièce jointe de son message électronique une photographie de lui, prise, si je ne m’abuse, avec un léger contrejour. Il ressemble un peu à l’apôtre qui, vêtu d’un manteau ocre, se trouve le plus à gauche dans La Cène de Carl Abrahams (le tableau peint en 1965).
Gonzague, quand nous étions en CE1, avait écrit, un matin, je ne sais plus quelle imbécillité, à même la paroi du préfabriqué, près de la porte d’entrée de la salle de classe, avec un marqueur qui puait. Ce n’était pas une parodie, ni un canular ; ni blague ni plaisanterie. Juste un ou deux mots écrits avec un marqueur vert.
12:38 Publié dans Une année de 398 jours | Lien permanent | Commentaires (0)
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