jeudi, 12 janvier 2012
Gaillard d’avant
De sombres pensées peuplent les greniers de votre crâne. Ce n’est pas pour rien que l’on avait choisi de ne pas reconstruire les presbytères bombardés à l’identique. (RUE TORRICELLI.) D’ailleurs, l’eût-on voulu, ç’eût été impossible. J’aime ces affèteries, de ne pas mettre les accents – ou signes diacritiques – à leur juste place. Ça me console de trouver à hurler cette mise en scène des Justes. On se console comme on peut, je n’en ai cure. Or en barre, au mètre.
23:03 Publié dans Ruses de Sioux | Lien permanent | Commentaires (0)
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