jeudi, 28 juin 2012
Allemagne-Italie, en quarante-deux vers ribéryens
J'avoir ras-le-cul voir mes poteaux du Bayern
Et suis cru que "ce soir" ça se dire gestern.
Je golri que comme Ösil taput le corner
Et qu'on dirit à l'accordéon la Horner.
T'auris vu comme que la passe au gardien
ç'a golri de la mort qu'est hurlé un chien.
Hugo que lui m'est dit c'est une diérèse :
Goal qui s'a troué où que j'aime le #13.
Je suis pas compris ce que Gianluigi Buffon :
"Jean-Louis Saltimbanque", a dire Hugo téléphone.
Regardirant le but en bleu Balotelli
J'a jeté ma binouse et contre la telly.
Y avoir vu rien que passe au grimpeur de cochons.
(De Schweinsteiger m'ont dit on c'est la traduc-chon.)
Après demandir rime Hugo de Boateng,
Lui m'a dire "Oh, va faire semoule au ginseng !"
Après son doublé qu'ôtant aussi le maillot
Balotelli qu'est pris carton amarillo.
Alignés portninwak et comme que des pions
Mes poteaux germains qui vont prenir punition.
Quand comme même me rappelant Dino Zoff
Je dire ce Cingal qu'est quand même un gros beauf.
J'avoir qu'à entendu Lizarazu Wenger
Qu'Hugo me dire que ç'avoir quelques longueurs.
J'a zappé voir Arte Raison et sentiments
Qu'a (pauvre Jane Rolls !) sous-titré allemand.
Si Jean-Pierre encor dire une fois "grands compas",
Je le fésir passa de vie à le trépas.
Longue interruption car clavier comme pirogue
Je ramus pour envoi de quinze au zaporogue.
Vraiment, on n'en peut mais de ce Christian Jean-Pierre.
(L'autocar, et non Franck, inspire ma manière.)
Le grimpeur de porcin qui tirut un coup franc
Je golri que Buffon l'a attrapi kiltran.
J'en ai gestern morgen à mon 18 distique,
Et ça m'on trouve aussi collant que l'uhustique.
Bolatelli que sortir qu'en a presque rampe.
Je connais meufs qui bien vouloir tirer sa crampe.
Ösil qui est marqué aux arrêts le péno
Relance le suspens que plutôt pequeño.
Les dopés qui le vont où truqueurs de paris
Jouir la finale (oui, mais pas à Paris).
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23:29 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
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