mercredi, 19 septembre 2012
Distiques ribéryens : la météo et la grasse matinée
Que golri je un max en sirotons mon thé
Dehors que froid automne où lumière bleuté.
Endroit que j'aime été même que si ça caille,
Platines de dee-jay plutôt où passacaille.
Cingal qu'on espérut où que son fils cadet
Allons se réveillir et nous lâche basket.
Mercredi que c'être un deux jours de judo
Où sur la tatami que pèle en kimono.
Hugo que dire me que tenue judogi
Et que j'être ras-le-cul où de ce Guigui.
Et ç'avoir pratique mes fautes pour chevilles
Alexandrinement que gonflaire chevilles.
Peut-être l'été avoir-ce derniers distiques
Où que n'avoir eu piqué par pas de moustiques.
Si que le gamin il est grasse matinée,
De mirlitons qu'avoir Cingal la tartinée.
Il faudri pas me prener pour la vieille courge
Que connexion Facebook il est lycée de Bourge.
Que suis-je contraindu dédiera le distique
Au seul unique qui ces distiques ont like.
Hugo que pénible me dire météo
Que j'être Franck lui Hugo et nous pas Théo.
Qu'en seul neuf minutes j'avoir pondi en douze
De si Zahia bimbo prolifi la partouze.
Qu'au lycée Bourge en salle profs la connexion
ç'a pas faire pour lisir mes indirections.
Paru que dès demain même pour la zénith
Que si été pourtant nous caillerons la bith.
Que Bayern potes dit s'en foutre du "Wetter"
Que golri je vestiaire où l'a coussin péteur.
J'être trop mégafort d'avoir pour le distique
Rime de grobogoss hypertranslinguistique.
Débile d'un quart d'heure il en écriva seize
Et qu'espère asséché de vers sera l'ascèse.
08:45 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
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