vendredi, 12 octobre 2012
Sonnet d’octobre
la c
hat
te allongée au sol
eil d’oc
tobre attend sobre
ment d’un œil verm
eil—doc
tement hier
o
glyphi-
que—que le c
iel d’Oc
citanie devienne un
lac
15:47 Publié dans Gertrude oder Wilhelm, Pynchoniana, Sonnets de janvier et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)
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