mardi, 30 octobre 2012
Maast à la crinière
Tout de même, imaginez-vous, la crinière pour désigner le bas-ventre, les parties génitales, le zizi quoi, la biroute. Et c’est au pays de cocagne, dessiné Guillaume Apollinaire qu’on apprend à énoncer ce genre de choses, bien le bravo. Les bovidés regardent passer les wagons. Paisiblement. En mâchonnements. Pas même estomaqués.
Qu’on les suspende en bidoche. Ça leur apprendra à écrire que la nourriture des fast food est gras double, ou qu’on se balade en forêt au milieu des amygdales.
Journée brioche, tous à vos pinceaux !
15:13 Publié dans Un fouillis de vieilles vieilleries | Lien permanent | Commentaires (0)
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