Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 22 décembre 2012

Le Feu & les mots

De hautes collines formées à rien

S’échappant, interminables, offraient le spectacle éteint de leur déroute

Face au feu du soleil serpent.

 

Même soleil féroce

Prend la défense du brouillard carton plein dans la fougère

Pour rien dire

 

Toutefois, ce rien n’est pas rien

Si j’estime qu’on a sacrifié la parole (du vent), que l’essor l’envol des collines

Est tout pour le poème

 

Tout et rien, ça nous fatigue

On préfère toujours poser l’œil sur le ciel et sur les collines, les beautés

Du langage riches fécondes.


Les commentaires sont fermés.