jeudi, 24 janvier 2013
Interminable, labil
Un jour j'en eus assez.
Regarder la nappe blanche, les oreilles dressées posées dessus... quoi ? Alors, j'ignorais ce qu'étaient l'obèle et la cotice. Une belle guibole.
Je relis Alice, parce qu'Alpha, qui n'aime pas, l'étudie en sixième. (Lui préfère L'Ours de Pastoureau et Zoos de Baratay.)
Un jour j'en eus assez de relire, relier et même d'écrire.
Quand ce jour advint, j'aurai eu des problèmes avec le temps. On en reparlait dans quelques années.
Bref.
Nappe blanche, petites torches de couleurs différentes, empilements sur les carreaux froids, ras-le-bol quoi.
Quoi ?
21:17 Publié dans ... de mon fils, Questions, parenthèses, omissions | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
C'est bizarre, Alice. Quand je le lis je n'y vois rien. Je me souviens l'avoir refermé au collège en me demandant pourquoi tout ce foin autour de ce livre.
Puis je trouve des citations que j'aime. Mais la plupart du temps elles viennent d'A travers le miroir. (Quel est le bon chemin? — Où voulez-vous aller? — N'importe où. — Alors tous les chemins sont bons).
Mon préféré: La Chasse au Snark
Écrit par : Alice | samedi, 26 janvier 2013
Les commentaires sont fermés.