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mercredi, 06 février 2013

Grippe, grêle

La grippe – la première depuis treize ans – aura eu raison de l’emploi du temps, car, après, il a fallu bricoler la communication, puis se vider du peu d’énergie restant pour le colloque.

Désormais, dans la série « dossiers en retard », ce sont les étudiants sud-coréens et australiens qui vont plomber les journées, avant le départ pour la mission en Afrique du Sud (Pietermaritzburg et Durban, où, entre autres joyeusetés, visites de campus, réunions de travail, je dois assurer 45 minutes de séminaire (jeudi prochain, me semble-t-il) sur je ne sais pas quoi encore). Rappel de l’immuable règle : quand le deuxième semestre s’annonce beaucoup plus léger que le premier, il paraît souvent pire, une fois au pied du mur.

J’espère tout de même avoir le temps, de mars à juin, de mettre en place mon nouvel emploi du temps, et notamment traduire les trois essais de Chaudhuri, la nouvelle de David Francis, et peut-être reluquer du côté de Parker Bilal (dont, en coup de vent, j’ai eu le temps de discuter avec Jamal hier, Jamal apparu in extremis pour une communication qui a tapé pile dans le mille, et a ouvert des dizaines de ramifications dans ce qui avait été dit jusque là – vertigineusement même).

Me suis rarement couché aussi épuisé qu’en ce moment. Entre autres choses, chantiers en souffrance, je devrais, pour ces carnets, rassembler mes notes ou souvenirs relatifs aux différents moments forts de la résidence.

——— La grêle contre les vitres, la grippe contre l’être.

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