vendredi, 22 mars 2013
El Desaparecido
Qu'imaginer de cet exil
Triste féroce et anxiogène
Dans son tonneau mon Diogène
Nous lance qu'il s'en bat le cil
Le Cid descendu dans l'arène
Du boléro je perds le fil
Bataillant bien après l'an Mil
Pour le pognon pas pour Chimène
Des virgules dont je t'affuble
Veston camisole ou chasuble
Tu t'ébroues pour les arracher
Et nu de tout ton éphémère
Exil à ne pas s'en cacher
T'avances Chacun sa chimère
07:49 Publié dans Sonnets de janvier et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)
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