dimanche, 28 avril 2013
Sept sans faute
La contrainte n'a pu être respectée. Toujours ces jours sans archive. Ainsi, avant d'avoir un appareil numérique, on avait déjà visité l'église de Vernou. Marché de Noël, avec l'ami lyonnais. Sans archive ne signifie pas sans mémoire. Se servir de l'album comme d'un recours contre l'effacement de ce qui n'a pas été saisi. Là, plus moyen de retrouver ce nom d'église, éloigné par un sonnet de jours, et par plus lourd oubli. « Je me souviens de la débâcle.» Rembrandt n'a pas moufté, le ridicule ne tue plus.
06:20 Publié dans Blême mêmoire, Hors Touraine, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.