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dimanche, 30 juin 2013

Notes, à la table carrée de métal noir

J'écris dehors. Il fait encore (bien) jour.

J'écris dehors, pour la première fois de la saison, si peu avant de partir, à la table carrée de métal noir.

La ville est un raffût.

La ville (même ici — surtout ici (dehors)) est un chambard. Merles, certes, grenouilles, mais surtout grondement ininterrompu de véhicules dont le son me parvient de la deux fois deux voies.

Vivre en ville me semblait quelque chose d'atroce, enfant ; je ne suis pas certain d'avoir tout à fait changé d'avis.

 

image201306300008.jpgOmissions. Le prunier a beaucoup forci. Quand le réverbère s'allumera, je ne pense pas pouvoir, comme les autres années, lire à sa lumière, sous le prunier.

La ville (même ici) a ses verdures, contraint de faire, autant que possible, pousser arbustes, buissons, arbres.

 

Trille du merle à l'instant, bonsoir.

La ville est un raffût. ——— Questions. Ce matin, en surveillant Oméga cycliste, j'ai lu, sur le rond-point, les quatre premiers chapitres des Lieux-dits.

Bergounioux aussi me raccompagne (ses carnets (: son journal)).

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