samedi, 06 juillet 2013
Ë
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Un homme étrange. Chant dans les bois. Passent tant d’heures dans la chambre, et le papier peint lui-même me répond. Je tape frénétiquement à la machine, sur du papier pelure, compose de curieux petits opuscules. C’est ce matin même, je n’ai pas vieilli d’un pouce.
Mon corps mort continue de lancer ses ongles et ses poils à la face du monde. Il ronge.
04:24 Publié dans À neuf les terres inondées | Lien permanent | Commentaires (0)
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