vendredi, 12 juillet 2013
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Vos danses macabres, en avez-vous soupé.
En avons-nous dansé, de vos marches funèbres.
Avez-vous dégelé les gavottes.
Vous étiez sous le tuf épais de la Touraine, on acheminait quelques gravats par la poste, le cœur au frais, le monde à nos genoux, et devant vous l’âme de la danse aussi chaude qu’un œuf.
En avons-nous pétri, des idoles de marbre.
Pour rien.
Dégelé.
19:28 Publié dans À neuf les terres inondées | Lien permanent | Commentaires (0)
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