samedi, 21 décembre 2013
On a mal des Fleurs : nouveaux distiques ribéryens
Golri-je la tempête et œuf frit de l'archer
Qu'on a l'aile géant et l'empêche marcher.
Endroit qu'elle me prend souvent comme une mer
Zahia qu'elle a plafond de brume ou vaste éther.
On a dur de perdir et on a vert de rage
Où ma jeunesse elle a d'un ténébreux orage.
Que si j'avons choisi Bayern et pas Milan,
On a dur souvenirs que si j'avais mille ans.
Hugo m'est dit ma gueule ont la charogne infâme
Et rappelir l'objet que nous on voir mon âme.
La très chère était nue, et qu'on conna mon cœur
Elle m'a bien pépon vive les footballeurs.
09:59 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
Je t'aurais bien ici ajouté ,
mais je ne sais pas le faire,
une photo de la tombe de Baudelaire:
on voit bien qu'il s'y est agité!
Écrit par : Marie Hélène | samedi, 21 décembre 2013
La seule façon de le faire, c'est de mettre le lien dans la fenêtre "votre URL" en enregistrant ton commentaire.
Merci pour le quatrain !
Écrit par : Guillaume Cingal | samedi, 21 décembre 2013
Baudelaire en a fait craquer sa pierre tombale!
Écrit par : Marie Hélène | dimanche, 22 décembre 2013
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