vendredi, 27 décembre 2013
Cauchemar rue Mariotte
Donc, dans la nuit du 26
au 27, deux cauchemars, dont le premier
d'une précision narrative
et d'une complexité
rarissimes chez moi,
angoissant,
film de David Lynch,
il faut croire.
Il faut croire
le souffle du vent dans la rue
quand il nous ramène
bouffées de souvenirs,
qu'il fait tomber les nèfles,
les laisse s'écraser
dans la boue humide de leur
putréfaction.
06:35 Publié dans Ecrit(o)ures | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.