mercredi, 15 janvier 2014
Larmes
Rumine tes fredaines,
Ô fillette d’idiots !
Fredonne à la radio
Courir la prétentaine.
Il prétend, ce petiot,
Te pondre des poèmes –
Du brouet pour des crèmes
Selon d’autres ratios.
Ici ou ailleurs mêle
À d’autres embuscades
Son parfum de tilleul.
Toi, dans ton monde seul,
Une cloche se fêle
En larmes par saccades.
10:44 Publié dans Sonnets de janvier et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)
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