lundi, 03 août 2015
“dans les arènes de Panjas”
cette seconde n'a duré
dans les arènes de Panjas
que pour laisser l'autre bécasse
s'adosser à l'ancien muret
le teckel parti la queue basse
& toute une ménagerie
l'embarquement sa vacherie
bien pire encore qu'à Habas
tout ça l'été c'est le bonheur
ou quelque chose d'approchant
dont nous traverse le plain-chant
tandis qu'à la perche on remballe
l'ivrogne & son énorme balle
foin des lourdingues déconneurs
07:47 Publié dans Sonnets de janvier et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)
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