lundi, 11 mai 2020
*1105*
Ce matin, je me suis levé pour constater le rafraîchissement, et surtout les averses à la limite de dégénérer en tempête. Il paraît que les métros étaient bondés ce matin, et Olivier Véran s'en est scandalisé : mais enfin, c'est leur faute !!! Le déconfinement sans distribution de masques ni incitation à maintenir le télé-travail, c'est la faute de ce gouvernement... à 100%.
Hier soir, interminable partie de Monopoly, à quatre — comme il y a quelques semaines, déjà à l'initiative d'O* — et qui s'est soldée par un dernier acte inédit : dix minutes où C* et moi avons disputé la finale, le temps de s'assurer que c'est bien elle qui me plumait, et non l'inverse.
Dans la journée, j'avais mis la piquette à O*, au piquet : 141/71, 120/57. Pas eu besoin de la belle en 221 points. (Pourquoi 221 points ? Le nombre 221, à part qu'il s'agit d'un multiple de deux nombres premiers consécutifs, n'a rien de particulier.)
Un peu avant midi, apéro visio (mais sans apéro en fait) avec mes parents, ma sœur, mon beau-frère et ma nièce.
Vendredi, j'ai promis à une amie de lui expliquer les motifs de mon hostilité à l'égard de Pierre Rabhi. Comme je manquais de temps, je lui avais promis un billet de blog d'ici dimanche. Comme elle m'a gentiment rappelé à ma promesse, je lui ai répondu vite fait, en MP. La vérité est que je n'ai aucune envie, en fait, de me (re)plonger dans ou tel texte de ce charlatan, dont on peut dire au mieux que son spiritualisme kitsch et creux est ridicule, au pire qu'il s'agit d'une stratégie d'extrême-droite pour placer toute la responsabilité de la lutte écologique sur les individus. Peut-être le ferai-je, tout de même.
11:40 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)
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