samedi, 30 mai 2020
Corail nickel
Demain, nous roulerons 99 kilomètres jusqu'au point le plus éloigné où nous nous serons rendus depuis février, et ce deux jours avant la fin de la limite des 100 kilomètres. Cette phrase est bien biscornue et boiteuse.
Hier, ou plutôt à minuit et demi aujourd'hui, en rentrant de Fondettes, nous avons encore aperçu un renard ; cette fois-ci, un qui traversait la route devant nous sur la rocade, et devant qui j'ai ralenti pour être sûr de ne pas l'affoler. Ici, les relatives, mon dieu.
Il y a dix jours un des rares écrivains dont j'ai un peu égratigné le livre (sur des centaines déjà chroniqués sur mon vlog) a publié un tweet un peu amer, ce que je peux comprendre. Lui n'a guère de chance que son livre ne trouve que peu d'écho, et négatif, et moi je n'en ai pas beaucoup non plus, que mes vidéos n'aient quasiment aucun écho. Ce qui me fait le plus de peine, c'est pour l'éditeur, dont j'aime (pour le coup) beaucoup le travail. Mais il faut aussi souligner que ma vidéo a, de par ce qui apparaît dans le fil Twitter, donné quand même envie à deux personnes de lire le livre, donc de l'acheter. En effet, même quand j'émets un avis un peu mitigé, dans mes improvisations, je lis toujours un extrait et j'essaie de dire ce qu'est le livre, singulièrement.
On lit beaucoup, sur la terrasse, mais il y a un vent perpétuel et violent. Qui est on ?
Aujourd'hui commence la vingtaine annuelle, qui cette année relie le corail au nickel. --- Et je me demande si, pour fêter aussi les 15 ans de ce blog, dans une semaine, je ne commencerais pas... quoi ? un nouveau blog ? une nouvelle rubrique ? un nouveau compte Twitter ?
18:30 Publié dans *2020*, Entre la cire et l'opale, Flèche inversée vers les carnétoiles | Lien permanent | Commentaires (0)
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