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lundi, 26 octobre 2020

Par bribes

Depuis déjà plusieurs mois je n'arrive à écrire que par bribes, ce qui est un peu mon défaut, plus généralement. Hier, avec le passage à l'heure d'hiver, et le retour en Touraine avec la pluie et la grisaille, l'après-midi n'a pas duré ; on s'est cru très vite au crépuscule, et puis c'était la nuit. Tout ce que je lance s'interrompt ou se délite.

Il y a tant de livres dont je sens, dont je sais que je n'aurai pas le temps de les lire, de m'y intéresser. Renoncer aux réseaux sociaux ou au vlog serait un leurre : ce sont ces échanges, si réduits soient-ils, qui me font lire un certain nombre de textes fondamentaux.

 

Hier, j'ai achevé la lecture de The Deep de Rivers Solomon, que je devais/voulais lire depuis deux mois ; pas encore acheté la traduction française, aux éditions Aux Forges de Vulcain. J'ai commencé l'Histoire de la femme cannibale de Maryse Condé, alors que je vais rendre à la B.U., sans l'avoir lu, Ségou. Vu que ma mère m'a offert Bitter Fruit d'Achmat Dangor pour mon anniversaire après m'avoir entendu dire, ici, que je n'avais pas eu le temps de le lire, il faut que je pense à dire, dans la prochaine, que je vais rendre une centaine de lingots d'or sans en avoir profité.

 

Pour mon anniversaire, j'ai aussi eu le dictionnaire gascon-français de l'abbé Vincent Foix, qui est une de mes obsessions lointaines, au point d'être devenu un sujet de moquerie de la part de mes fils (surtout O*). Ce livre est vraiment une mine. J'en reparlerai sans doute, et il se pourrait même que je lui consacre une ou plusieurs vidéos.

 

06:58 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)