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mercredi, 03 août 2005

Réflexion égarée, à publier près des étoiles

Le chatoiement des sentiments peine à se traduire avec assez d'ambiguïté dans les aphorismes ou le langage théorique. N'est-ce pas d'ailleurs la grande richesse de la poésie, et sa supériorité par rapport à la philosophie?

Commentaires

C'était très amusant le jeu sur la série des titres, à partir de "Concis". Mais si tu permets, tu as sauté une étape entre "cornue" et "cernés". Il aurait fallu entre les deux quelque chose comme "cornés". Mais peut-on corner une note virtuelle ? Par quel coin ???

Écrit par : fuligineuse | jeudi, 04 août 2005

Et si tu le joues (sur un instrument de musique), fredonnes ce chatoiement, le siffles, nul besoin de le transformer en écriture et ça reste poétique. Tu pourrais aussi le peindre. Je me demande ce que ça donne un poème en peinture.
Je ne suis pas sûre de comprendre ce que tu entends par supériorité de la poésie par rapport à la philosophie. S'agit-il simplement de ce que peut faire l'une dans le domaine des sentiments par rapport à l'autre, ce qui serait suffisant d'après toi, pour la rendre supérieure à l'autre?

Écrit par : Livy | jeudi, 04 août 2005

Oh oui, c'est simpa la suite de noms !! J'avais pas remarqué la lacune, bravo fuligineuse !
Et je suis d'accord avec Guillaume, on n'exprimera jamais théoriquement autre chose que des théories, et, en ça, le recueil prime sur l'essai.

Écrit par : Simon | jeudi, 04 août 2005

Je ne suis pas sûre que la philosophie se résume à des théories, ni que la poésie soit toujours capable de bien rendre le chatoiement dont le Kiddo landais fait référence.
Il existe des passages de Ricoeur et de de Certeau que je trouve absolument sublimes dans cette tentative justement de rendre ce chatoiement dans le texte philosophique.

Écrit par : Livy | vendredi, 05 août 2005

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