lundi, 26 septembre 2005
William at Work, again & again
No blogging William anymore. Il va falloir lui laisser le temps de se retourner, et de se re-tourner les pouces aussi, ce qu'il ne fait pas trop, en général, mais là moins que jamais, car n'a-t-il pas, le bougre qui de lui-même à la troisième personne (de majesté) parle et qui, outre sept heures de cours, une heure et demie à recevoir des étudiants pour des problèmes administratifs (again and again), et quelques autres menues tâches, qui, donc, s'est attablé ce soir pour décortiquer un peu u texte de Divakaruni qu'il étudie demain dans un T.D. d'analyse de textes de troisième année, n'a-t-il pas (j'y viens!) dû faire face au genre d'incident pour lequel il est le moins préparé, le plus sinistrement incompétent, à savoir une crise d'épilepsie d'une étudiante, dès le premier quart d'heure de cours, ce matin à neuf heures, d'où SAMU and the whole caboodle? J'espère que la jeune fille se sera remise, qu'elle n'est pas gravement épileptique et que je pourrai lui dire deux mots en aparté lundi prochain, afin de la mettre à l'aise.
21:59 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
Tu fais des longues phrases. Tes journées paraissent longues aussi, n'oublie pas de chérir A. et ta femme, plutot que Divakaruni !
Écrit par : Simon | lundi, 26 septembre 2005
One last blogging mate, you've been tagged in my blog.
Écrit par : Livy | mardi, 27 septembre 2005
Le style est à mi-chemin de celui de Diderot (voire de Sterne himself) et du métalangage post moderne et fatiguant d'un discours qui n'arrive pas à se faire mais se fait quand même. Enfin, finalement, c'est Simon qui a raison, l'essentiel est bien là !
Écrit par : Yvette | mardi, 27 septembre 2005
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