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mercredi, 28 septembre 2005

Pleins et déliés

Les journées plus pleines que jamais, et pleines de beaucoup de vide, à s'en désoler, bien entendu, au moins la reprise du volet "enseignement" a permis de renouer avec les étudiants, ce qui est très agréable, et je suis rentré, non pas revigoré, mais très content et assez en forme des deux journées qui m'ont vu enseigner pas moins de quatorze heures, plus les trajets et les deux heures quotidiennes de réception. En tout cela, pas une minute, ou presque, pour ce carnet de toile, encore moins pour lire les autres, et ne disons rien, alors, du dernier roman paru de Lobo Antunes, dont je n'ai lu qu'une centaine de pages en deux jours, alors qu'il sera ce soir à Tours, à 18 h 30, à La Boîte à Livres, cet affreux magasin tenu par des marchands de soupe qui ont au moins le mérite d'inviter parfois un écrivain somptueux, comme Antonio, justement.

Ce matin, au Jardin botanique, cueillette de feuilles de paulownia pour les chèvres de l'enclos central.

Commentaires

Une centaine de pages en deux jours ? Mon pauvre Guillaume, il y a longtemps que je n'ai même plus de temps pour y parvenir ! Je dois être tombé à cinquante pages en deux jours, et encore. Autrefois, cinq livres par semaine...

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 28 septembre 2005

Cela m'arrive même de ne pouvoir lire que moins encore. Et je sais qu'en fonction des moments, ce peut-être cinq heures de lecture par jour, ou une demi-heure.

Écrit par : Guillaume | mercredi, 28 septembre 2005

Attention à ce que tu n'aies pas dans tes lecteurs un vendeur de la-haut ...

Écrit par : Simon | mercredi, 28 septembre 2005

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