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lundi, 03 octobre 2005

Pause travail...?

Tu vois, ça coûte 620 euros un brevet industriel, avant c'était dix mille balles, c'est moins cher.

Je discute avec Guillaume, le jeune patron et cuisinier du Cap-Ouest, et il y a aussi, là, une dame qui s'avère être la mère d'une des mes étudiantes de première année L.E.A., et avec qui j'échange quelques paroles.

Non, j'ai repris de fumer depuis août, les vacances ça c'est la galère.

La matinée s'est bien passée, sans pas superflus puisque mes deux cours du matin sont dans le même bâtiment maintenant.

Je ne peux pas exposer, je n'ai pas de voiture, tu me vois me trimbalant avec mes toiles?

Le boeuf bourguignon n'est pas mauvais, ici j'ai la certitude de pouvoir manger tranquillement et en une demi-heure, ce qui me laisse le temps de vaquer à mes occupations juste après (et juste avant la reprise de mes cours, à deux heures de l'après-midi).

Mon ex, elle s'est retrouvée avec un Marocain sur internet... elle est allée là-bas... et maintenant elle est revenue... enceinte de trois mois... enfin, chacun sa vie...

Le trio à ma droite mériterait le tableau. The one who does most of the talking moins encore que son comparse et la dame un peu plus âgée qu'eux deux.

Enfin, j'ai trouvé cette solution pour faire mes tableaux en laminé, ça permet de faire des copies plus vite et de répondre à la demande.

Je ne prends pas de dessert, finalement, car ni l'île flottante ni la charlotte aux poires ne me tentent.

Mon père va m'aider... avec ce brevet, tous les peintres vont acheter ça... ça fait deux ans que je travaille dessus... c'est un super projet...

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