mercredi, 05 octobre 2005
Yvette encore
Je ne sais pourquoi ma compagne a choisi Yvette comme nom de plume, ou pseudonyme internautique. C’est le prénom de sa tante paternelle, but that’s hardly a hint when you happen to know the aforesaid aunt!!! Ah la la, comme si ce carnétoile n’était pas assez compliqué avec les journalistes de la NR, les jeux de Livy, les questionnaires de Fuli, les agaceries des faux Newbie… et les bluesmen québécois (à qui je dois encore une note, j’y songe, et elle se prépare).
12:36 Publié dans Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (5)
Commentaires
Guillaume, Guillaume ! Tu sais que je ne comprends pas bien l'anglais et tu en profites ... Tu traites ma tante, mon frère ! Be carefull my dear one !
Écrit par : C | jeudi, 06 octobre 2005
Ah, mais ça, c'est la grande mode, en français comme en anglais. Il faut "faire passer le message", comme on dit. Et si le message est pauvre, c'est aussi bien parce qu'ainsi, il est plus facile à "faire passer". La grammaire, la syntraxe, la sémantique, la philologie ? Quoi qu'c'est-y-qu'tu veux dire ?
Mon pied au cul, oui...
Écrit par : Jacques Layani | jeudi, 06 octobre 2005
Syntaxe, évidemment.
C'était bien le moment de faire une faute de frappe.
Écrit par : Jacques Layani | jeudi, 06 octobre 2005
Quand se détraque la syntaxe, il n'ya qu'à traquer l'axe et risquer un beau sax...
Écrit par : Guillaume Cingal | jeudi, 06 octobre 2005
Ah bon, le globish, c'est pas ton truc? (J'avais beaucoup aimé un article sur le sujet, qui se terminait par ses mots : "Evidemment, faire de l'humour avec 500 mots n'est pas recommandé".)
Écrit par : VS | jeudi, 06 octobre 2005
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