dimanche, 16 octobre 2005
Langue, déguisement et pensée (suite)
Au cours de l’écriture du chapitre “Chansons”, Leiris relit le paragraphe qu’il vient d’écrire et enchaîne ainsi :
« Ce passage […] est non exempt de ces trucs grâce auxquels les incertitudes de la pensée sont masquées par le clinquant des mots et ce qui tend à n’être qu’évidence verbale substitué à l’évidence des idées » (Biffures, 1948, Gallimard, « L’imaginaire », p. 19, italiques ajoutés)
20:55 Publié dans Lect(o)ures | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.