jeudi, 10 novembre 2005
Le faux Tourangeau n'a pas lu Ravelstein
Russie éternelle, ou encore grimaces.
Âtre où folâtrent des pigeons,
vide, éteint, sans embrasement.
Est-ce cette planète, ou ce roi
lucide, en sa danse de la pluie,
sereinement conquis?
Terreur, apothéose!
Est-ce, de sons, une overdose?
Il paraît que je ne suis rien,
non, au chaud sous les couvertures.
Commentaires
Le Faux Tourangeau et le Vrai Parisien trouvent pour une fois avoir un point commun...
Écrit par : Vrai Parisien | jeudi, 10 novembre 2005
Grammercy de cette belle et instructive anthologie !
Écrit par : Renaud Camus | jeudi, 10 novembre 2005
You're most welcome.
Écrit par : Guillaume | jeudi, 10 novembre 2005
Tout ça pour avoir un commentaire de Renaud Camus, quelle navrance !
Écrit par : Philippe[s] | jeudi, 10 novembre 2005
Depuis je l'ai lu. Ça va vite.
Écrit par : VS | jeudi, 23 mai 2013
Les commentaires sont fermés.