lundi, 28 mai 2007
Le Principe de ruine, p. 78
Pierre, Melchior et Le traversin : chants d'amour tendre.
Quand elle évoque "l'homme qui a faim et qui ne mange rien, l'homme miné", il ne peut s'empêcher de penser au graphite, et aussi aux graffiti, à l'indécence veule ou laide de clamer béatement.
Fabriquez des pelisses à la centaine, vous verrez toujours. (Ce sont des signes en aveugle dans la nuit, des panneaux sans armature et même, dans le chant retrouvé des merleaux échappés du nid, une poignée de fantassins sans armure.) Le fou de Chaillot, dont le père est un porc.
18:09 Publié dans Le Livre des mines | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : Fiction
Commentaires
C'est volontaire, "graffiti" sans "s" ? Je suis pour, personnellement, assujettir les mots étrangers adoptés à la grammaire française. C'est pourquoi je dis et j'écris des "scénarios" et non des "scénarii", prétention italialisante doublement stupide puisque, alors, il faudrait aussi virer l'accent sur le é.
J'ai dit.
Écrit par : didier goux | lundi, 28 mai 2007
Difficile, Monsieur Goux, d'avoir une ligne de conduite totalement cohérente en la matière, comme me le confiait encore récemment, en grignotant un spaghetto, un Targui de mes amis, par ailleurs incollable sur le sujet de la diffusion des Lieder dans les kibboutzim.
Écrit par : Chieuvrou | lundi, 28 mai 2007
Respect, Monsieur Chieuvrou...
Écrit par : Didier Goux | lundi, 28 mai 2007
N'exagérons rien.
(J'ai comme l'impression qu'on monopolise un brin l'espace dévolu aux commentaires, là, sur cette note...)
Écrit par : Chieuvrou | lundi, 28 mai 2007
Comme d'hab... Mais comme après vous, il n'y a plus rien d'intéressant à dire... (oh la fayote !!) Continuez donc !
Écrit par : Chloé | mardi, 29 mai 2007
Veuillez vous coucher, vous, vous êtes jeunette, certes, mais vous avez besoin de toutes vos forces pour apprendre vos cours. Ce n'est pas comme moi, qui peux toujours dormir au bureau... Euh... non, je n'ai rien dit. Non, non, chef, je vous assure, je suis dans mon lit et je dors à poings fermés depuis au moins deux heures.
Écrit par : Chieuvrou | mardi, 29 mai 2007
Vous faites votre sejan, Didier?
Écrit par : VS | mardi, 29 mai 2007
Je crains de ne pas bien saisir, chère VS : c'est quoi "faire son sejan", pour vous ?
Écrit par : didier goux | mardi, 29 mai 2007
Correction de prof de collège, vous-même dixit.
Écrit par : VS | mardi, 29 mai 2007
(Bon, je suis en train de me dire que cela pourra(it) être mal interprété par les professeurs de collège lisant ici, donc je vais développer: un certain sejan, professeur de son état (mais je ne sais dans quelles classes) a fait des remarques orthographiques --plutôt fondées, d'ailleurs-- dans les commentaires de mon blog. J'ai répondu un peu sèchement (c'était la deuxième fois qu'il procédait ainsi et je lui avais déjà fait remarquer que mon blog n'était pas une copie), et Didier est venu à mon secours en me reprochant une parenthèse fermée non ouverte et en ajoutant "moi aussi j'peux faire mon prof de collège". Voilà, voilà.)
Écrit par : VS | mardi, 29 mai 2007
Bon, dans ce cas, si sejan fait son prof de collège... vive sejan ! (Et c 'est vrai que vous aviez fermé une parenthèse de trop (et, non, ça n'a pas d'importance).)
J'ai l'impression qu'on est en pleine incompréhension, là... c'est plutôt amusant...
Écrit par : didier goux | mardi, 29 mai 2007
Bon, revenons au fond : que pensez-vous de Sallenave, Guillaume? (J'ai hésité hier à commander "Paysages de ruines avec personnages", l'édition me plaît beaucoup).
Écrit par : VS | mercredi, 30 mai 2007
Ah ! oui, Sallenave, ça m'intéresserait aussi de savoir si ça vaut le coup d'y aller voir.
Écrit par : didier goux | mercredi, 30 mai 2007
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