jeudi, 21 juin 2007
Quartiers de loin
Dans mon souvenir, il n'y a pas dû y avoir de billet intitulé Rue Colbert, 2.
Je me rappelle les premiers temps à écrire dans ces carnets : une impression de grande nouveauté, une forme de frisson technique également, un réel désir de mieux cartographier certains recoins significatifs de la région (et dont on sait ce qu'il en est advenu, comme de tant de désirs pour qui a l'âme velléitaire).
Il est vrai que je n'ai qu'effleuré, dans ces lignes d'alors, la rue Colbert. Il est vrai, aussi, que le fort volume d'Onuma Nemon que je citais en ouverture avait en partie stimulé mon retour à l'écriture. Dernièrement, en lisant L'Amour l'Automne, j'ai retrouvé la trace de Quartiers de On !
00:30 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
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