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mardi, 02 octobre 2007

Fiat lux

À onze heures, après un cours de deux heures dans la salle 3 de l'Extension, je suis redescendu vers mon bureau, au rez-de-chaussée du bâtiment principal, en éteignant, au hasard des couloirs, pas moins de neuf séries de néons dans des salles de classe inoccupées. Est-ce trop demander à mes très estimés collègues de faire preuve d'un minimum de conscience citoyenne, écologique et kyotocolienne en éteignant les lumières quand ils quittent une salle de cours ?

On peut aussi préciser que, dans certaines salles, on n'a même pas besoin de lumière électrique pour faire cours ! Ce n'est malheureusement pas le cas dans certaines salles du nouveau bâtiment, dont les stores laissent entrer la lumière du jour sans pour autant que cela suffise à éclairer les feuilles de papier et les documents, même en plein jour... Serait-ce trop demander aux architectes des années 2000 de faire preuve d'un minimum de conscience citoyenne, écologique et kyotocolienne en prévoyant d'intégrer l'éclairage naturel dans le dispositif d'un bâtiment ?

11:55 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Ligérienne, Université

Commentaires

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Écrit par : Ellie | mardi, 02 octobre 2007

Le problème est tout simple: ce ne sont pas toujours vos estimés collègues qui quittent la salle en dernier...

Écrit par : Catherine | mardi, 02 octobre 2007

Certes, mais, outre les étudiants, jamais en retard (pour certains) d'indolence, je sais aussi que plusieurs collègues n'en ont aucunement cure.

Écrit par : Guillaume | mercredi, 03 octobre 2007

En parlant de collègues, je m'excuse à l'avance Guillaume, pour les lignes qui vont suivre, mais il faut que je parle... Aujourd'hui était une journée entière passée à l'hiuèfaime, où différentes "personnalités" de l'éducation nationale sont intervenues. Je n'ai pas pu m'empêcher de relever certaines "perles" comme il doit t'arriver de le faire avec tes étudiants...

1. "à l'insu de leur plein gré"
2. "On a deux solutions, il faut choisir la moins mauvaise"
3. "Posons le machin et regardons-y calmement" (si, si, je vous jure; et dit avec le sourire...)
4. "Chacun va y aller de son avis"
5. "Ce livre est réédité sous un format "livre habituel"." > livre "de poche" donc?
6. avant la pause, à midi : "Je suis comme vous, je vais m'interrompre et vous laisser aller manger."

...et au tableau, le professeur "formateur" s'il vous plaît (de maths, soit dit en passant) note:
"mettre l'élève face à Ces responsabilités".

L'après-midi, en compagnie d'un inspecteur....

1. "Faut aussi parler clair."
2. "Qui pourrait me dire par quelles trois choses nous sommes contraints?"
3. "Si je veux aller faire pousser les chèvres sur le Larzac, je dois prendre des diponibilités" (et ouais, ça pousse ces petites bêtes...)

...

Écrit par : Aurélie | mercredi, 03 octobre 2007

Que les formateurs IUFM et inspecteurs soient parmi les pires cuistres incultes du pays, je n'en ai jamais douté... mais ça fait du bien (enfin, façon de parler) d'avoir des exemples. Amazing !

Écrit par : GC | jeudi, 04 octobre 2007

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