Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 30 novembre 2007

Ventredieu

Tout commence avec un rôti de boeuf qui semble succulent (et le sera (la boucherie Tillet ne nous déçoit jamais)). J'ai raté, pour deux minutes, la publication du précédent billet à 11 h 33 ; ça ne doit pas se reproduire. Ah, ça fait plaisir de voir quelqu'un qui achète du Braxton ! Nous parlons musiques improvisées, et d'un concert de Benoît Delbecq au Petit Faucheux, naguère, avec une demi-douzaine de spectateurs à tout casser. Je photographie... quoi, déjà ? la devanture du salon de thé Scarlett (en pensant à Didier Goux).

Le déjeuner au Surya, à l'invitation de Roukya Atteye, est passionnant : nous parlons beaucoup de Djibouti, du Somaliland et des projets de l'association Touraine-Djibouti. Comme je donne après-demain, à 15 heures, au Vinci, une conférence sur la littérature djiboutienne, il fallait que nous accordions nos violons.

Roukya Atteye est la très dynamique présidente de l'association ; elle doit aussi, outre ses responsabilités sur le stand au Festival des Langues, donner des cours d'initiation de somali et d'afar ; j'apporterai mon camescope, car elle n'est pas sûre qu'il y aura quelqu'un pour imortaliser le stand et les diverses animations du week-end.

(On ne dira pas que le premier mot de la dite conférence n'est pas encore couché sur le papier.)

Commentaires

Votre pensée ve va droit au coeur ! Et d'autant plus que, en 1973, j'ai passé cinq semaines à Djibouti, où mon père se trouvait alors affecté.

Écrit par : Didier Goux | vendredi, 30 novembre 2007

15 h 33 : la photographie promise sera publiée.

Écrit par : Guillaume | vendredi, 30 novembre 2007

Sans vouloir immodérément m'immiscer dans votre échange à tous deux, car il va sans dire qu'un comportement aussi immoral me serait immanquablement reproché, j'ai, en toute immodestie, immédiatement décelé une petite anomalie dans votre texte, non point tant dans votre réflexion sur la blancheur immaculée des voiles du Scarlett ou dans votre sous-entendu sur la réputation totalement imméritée qu'a certaine cuisine qu'affectionnent les immigrés de l'immense sous-continent indien d'être proprement immangeable, voire franchement immonde, pour des Occidentaux moyens, mais bien plutôt dans la phrase qui précède votre parenthèse finale. Oui, là... Sans doute vous êtes-vous un peu trop immergé, ces derniers temps, dans la prose de quelques étudiants légèrement immatures car le fait est qu'il y manque quelque chose...

(J'entends, dans ladite phrase.)

Écrit par : Chieuvrou | vendredi, 30 novembre 2007

Autrement dit et pour faire plus court, il manque un M dans un mot.

Écrit par : tinou | samedi, 01 décembre 2007

Pas mmal, la longue allitération en "imm-" pour mme faire remmarquer mmon "imortaliser", que, du coup, je mme sens presque contraint de laisser tell quell...

Écrit par : Guillaume | samedi, 01 décembre 2007

En attendant, il est patent que le « tant » de ma troisième ligne est un tantinet intempestif.

Écrit par : Chieuvrou | samedi, 01 décembre 2007

Les commentaires sont fermés.