vendredi, 30 novembre 2007
Même pas Johansson
Le voile s'écarte à peine, dans la brume humide de gaze ou de cretonne. Toute une cérémonie s'apprête, à laquelle personne ne vous a convié. Dans quelques mois, vous regretterez ces arômes chassés d'un regard fuyant, ces senteurs suaves de cardamome et de girofle, assez pour que la soif guette derrière les rideaux de bonne femme.
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Claude Egea n'y va pas de main morte, derrière et après Sara Lazarus, sur What is this thing called Love ?, ni Marc Ducret sur Amour à vendre.
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Laissez passer la cicatrice.
15:33 Publié dans Ecrit(o)ures, Moments de Tours, Sites et lieux d'Indre-et-Loire, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Ligérienne, Photographie, Poésie, Jazz
Commentaires
Et sous le voile à peine clos ?
Écrit par : Didier Goux | vendredi, 30 novembre 2007
Cette blessure
D'où part ta vigne en y pressant des doigts
D'où vient le cri le même chaque fois...
Écrit par : Didier Goux | vendredi, 30 novembre 2007
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