mardi, 15 juin 2010
"Everything goes into the book"
Que se passe-t-il, en juin pourri ? Des travaux partout à Tours, et ce n'est même pas pour le tramway.
Everything goes into the book. (Créneaux ratés, multiratés, voiture qu'on ne retrouve pas dans ce foutu parking Vinci de la gare de Tours, créneau encore, sourires en coin, novembre tiède 2004.) Everything goes into the book. Je n'ai pas de nouvelles de Jamal Mahjoub. (Lui n'en a pas de moi. ---- My friend forsake me...) Je n'ai pas non plus de nouvelles de John Clare, mais c'est moi qui ai renoncé à en demander.
Jamal avait une légère barbiche, fort courte, juste au menton... a modern goatee en quelque sorte, et je n'ai jamais vu qui que ce soit d'autre ne pas avoir l'air ridicule avec cet appendice -- au contraire superbe et plein de prestance.
Je crois me rappeler mot pour mot, phrase à phrase, sa conférence du vendredi. Ce doit être une illusion. La mêmoire ne dédouble rien, mais trouble toutes les inventions.
Everything goes into the brook : tout va à vau-l'eau, même la vie ornée de, structurée par parenthèses.
18:47 Publié dans Blême mêmoire | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Pareil. je n'en peux plus des travaux. Détour pour sortir de chez soi, métros supprimés à partir de 20h, N6 ne donnant plus accès à la Francilienne... Epuisant.
Écrit par : Alice | mercredi, 16 juin 2010
Il paraît que Rome est pire. Consolons-nous.
Écrit par : Guillaume | vendredi, 25 juin 2010
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