mardi, 15 juin 2010
Souffles d'une trame
Des travaux partout à Tours, et ce n'est même pas le tramway !
La Yarra, ce n'était pas grand chose. Mais le Jardin botanique, oui. Sourires jamais figés, cela aussi compte. Déjà un mois, pourtant, que, même pas las d'excavations dans la mémoire la moins superficielle, et gardant le silence parce que tout doit être raconté, je suis rentré, à peine fatigué (et donc nullement fourbu), de Melbourne.
Portal/Kent/Cinelu /// 04 Pigmee.wma /// Pigmee, Pygmées
Pygmées (ou pas), nos âmes (dont Giono, dans Le Poids du ciel, se soucie et s'exalte) peuvent même élever le didgeridoo à des hauteurs insoupçonnées.
(Hauteurs insoupçonnées : voilà le type même du cliché, de la collocation employée comme cliché-pirouette. Tout un texte s'écrit dans le désir d'éviter les clichés, et pour une dernière surprise bien fade, recourt justement à un cliché - comme explicit.)
10:20 Publié dans Hors Touraine | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Ok, un "cliché-pirouette" (une seule occurrence sur gougueul), c'est donc une formule sensément stylistique, mais en fait sans substance ? Comme "impatient démon" ?
Ah et merci pour Michel Portal, la journée commence bien !
Écrit par : Simon | mardi, 15 juin 2010
J'ai un peu beaucoup fait exprès e mal expliquer ce que j'entendais par "cliché pirouette". En l'occurrence, ce que j'entends par là, c'est : finir un texte par un cliché pour ne pas avoir à "trouver une fin". Evidemment péjoratif.
Écrit par : GC | mardi, 15 juin 2010
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