mardi, 29 juin 2010
Le Marin du vieux port
Il y a toujours des marins, des mariniers, des navires - dans tes poèmes.
Ne m'en étais pas aperçu.
(Signe des temps.)
Bouffée de fraîcheur au grand large. Non sans mal, après plusieurs tentatives, il finit par explorer minutieusement la grande barrière de corail, avec l'oxygène en bandoulière comme un escargot mal fagoté. Bois ça un coup, ça dégage.
Dans ce poème encore, un capitaine de frégate !
Le tourne-disques inlassablement me fige cet arc-en-ciel dans les yeux. J'ai quatorze ans et je ne sais même pas ce que ça signifie. (Aujourd'hui encore non plus.)
Toutes mes amours ont viré de bord...
07:10 Publié dans Questions, parenthèses, omissions | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
et que DIT le vieux marin ? " Ma parole possède un singulier pouvoir."
Écrit par : elizabeth | mercredi, 30 juin 2010
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