mardi, 12 octobre 2010
(peu de) Café :
Le café n'y suffit pas. Six heures du matin, mardi, pas moyen de dormir, d'où levé depuis deux heures déjà. Pas possible de tenir le coup même avec le café (froid à peine bu, qu'est-ce que ça veut dire). S'est aperçu, le farfadet qui tient son log-book ailleurs, que ça prend moins de temps d'écrire à jet continu que de recopier soigneusement telle ou telle page, et l'odeur du vinaigre blanc n'y changera rien. Sait pertinemment qu'hier dans le bus 10, une fois dépassée la place René-Coty, il a songé à un très beau billet sur une scène de son enfance (de sa jeunesse ?), pour Blême mêmoire, mais qu'elle a disparu (irrémédiablement ? il faut diablement se méfier de ces adverbes) ; c'était en lisant Beinstingel, coincé contre une belle rousse. Au retour, le soir, dans le bus 1A (il faut bien varier les plaisirs), il ne put même pas extirper le livre du sac de toile Mobility Forum (la classe - en toile verte et blanche, pas un rond, une sous-bouse mais australienne, je vous prie). Et à part ça, quoi ? Rémi Latapy a triomphé à Pécorade. Bruit de mobylette NR dans la rue Mariotte. Quitte l'école taurine - pour une ganaderia de formelle ?? Froid, bu, disparu, insuffisant : le (peu de) café.
06:09 Publié dans Questions, parenthèses, omissions | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Je comprends mieux ta visite matinale. Au fait, le lien que tu m'as laissé n'est pas bon !
Écrit par : tinou | mardi, 12 octobre 2010
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