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dimanche, 02 janvier 2011

Esquisses pour un tricentenaire

Allegro. Comme il avait étudié la composition auprès de maîtres français, et comme, lors du grand tour, il s'était arrêté plusieurs jours, sans doute amoureux d'une chambrière, dans la bonne ville d'Orléans, William Boyce avait été plaisamment surnommé par ses amis francophiles (ou que la langue française n'offusquait pas absolument) le Purcell d'Orléans.

Larghetto. Exercice. Comptez le nombre d'inexactitudes et d'anachronismes contenus dans l'anecdote ci-dessus.

Tempo di minuetto. Je ne sais pas pourquoi l'étudiant qui se nomme Berger frappe à ma porte. Dans mon bureau, il y a deux reproductions côte à côte, qui intriguent souvent mes visiteurs : une gravure de Jacques Adrien Lavieille et une reproduction de l'Entrée de ferme de son neveu, Adrien Lavieille.

Marche. Volutes, tierces, autours qui fendent l'air et colombes qui s'élèvent en un gracieux cantilène qui que rien n'apaise. Oui, 2011 sera bel et bien l'année Boyce.

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