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samedi, 01 janvier 2011

L'oiseau merveilleux, dans le formol

Ce sont des bocages. Tout se désagrège.

Rouges violents, j'imagine alors les carrés oculaires de Paul Klee. Mais cela n'a rien à voir ! Pourtant, l'hallucination persiste. Ce livre, comme d'autres, doit reprendre son envol. Alors, quoi ? les carrés, les formes vagues et aiguës, les trublions rigolos ? N'est-ce rien, tout cela  ? Vous ne dites rien, mais je lis des réponses hostiles sur vos lèvres.

Y a-t-il un bonheur ici-bas ?

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