mardi, 08 mars 2011
Grouloulou
Anthony Perkins, portant le plateau, se dédouble dans la vitre. L’acteur a 38 ans, moi 36. À moitié moins, peut-être.
« On comprend mieux, écrit Murielle Gagnebin, l’angoisse qui saisit tout spectateur devant les détritus d’un Bettencourt comme face aux figurines spongieuses d’un Dubuffet. » (Fascination de la laideur, édition de 1994, p. 208)
Même après avoir lu ce qu’elle en dit, je ne comprends pas mieux. Et, spectateur moi-même, y revenant encore et encore, je ne suis pas plus angoissé, si ce n’est d’avoir lu le texte de Murielle Gagnebin et de m’imaginer anormal de ne ressentir que joie et hilarité, et pas l’ombre d’une angoisse.
5 h 15. Crise d’éternuements, ou plutôt grand besoin de me moucher, encore et encore.
05:35 Publié dans Un fouillis de vieilles vieilleries | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Eh bien, on devine devant quelle chaîne tu as passé la soirée hier... (Rhume des foins, déjà ?)
Écrit par : elizabeth l.c. | mardi, 08 mars 2011
Non, en fait, je frime : j'étais devant Gulli à regarder le film des Charlots, bien sûr. (Pffff, Psychose, c'est vu et revu... D'un commun...)
Rhume des foins, je ne crois pas. Jamais eu ça. (Et ça, c'est sérieux !)
Écrit par : Guillaume | mardi, 08 mars 2011
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