mardi, 24 mai 2011
Jardin de vite quitte
Sur le parterre transformé pour l’occasion en boulodrome, les garçons, brutaux et joueurs, s’amusent à lancer les boules le plus fort possible – pour renverser les quilles.
Zyeutent les filles. En coin.
Tout ça ne débouchera sur rien. Dormez sur vos deux oreilles. (Vous : parents ; pudibonds ; vertueux ; journalistes particuliers.)
Du square planté de saules et de gynériums, les garçons cavaleurs, encore enfants, ont déboulé le plus vite possible. Alerte à la patrouille.
Filez fissa, j’ai rien vu.
13:06 Publié dans Un fouillis de vieilles vieilleries | Lien permanent | Commentaires (0)
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