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lundi, 12 septembre 2011

Quoi... les paragraphes...

Ni Charlotte ni Fabienne ni, à ce qu'il me semble, Sylvain. Donc bureau 44, aux ordinateurs si lents, à peu près pour moi ce semestre le lundi, mais nous verrons. Lampe allumée, fenêtre ouverte sur le bruyant bringuebalement des fourgonnettes et camions rue des Tanneurs, au point de s'en étonner (pourtant, mon bureau de directeur donnait sur ce même côté – deux mois de rupture).

Guingois du lundi (12 septembre 2011) : clinique vétérinaire (si, si).

Hier soir, je n'ai pas avancé d'un pouce mon cours sur American Pastoral mais 1Q84, très troublant (stylistiquement) par certains côtés mais terriblement romanesque au sens le plus galvaudé. (C. de me dire ce matin entre le bol et la mug qu'il en était de même de Kafka sur le rivage.)

Lettres, certaines, presque effacées sur ce clavier, c'est du sport. Alpha n'a jamais aussi bien dormi que depuis une semaine, c'est à n'y rien comprendre. Lettres effacées du clavier : le n, le m et le e. En me rendant à l'Université en Clio, j'ai pris quelques images ternes et froides pour la série des Guingois, qui pourrait aussi s'intituler Mochetés du petit matin.

Remis la salle 51, où je fais cours à 9 h 30, en état. Le chargé de cours qui se pointait à huit heures moins dix n'avait pas la clef ni ne connaissait les chiffres du digicode. À quoi servent les paragraphes. Reconnaissance de guingois elle aussi. Sourires.

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