mercredi, 28 septembre 2011
Météo, 3 [Hagetmau, 13 juillet 2011]
Hier soir, un orage est tombé, accompagné d’une averse très violente. J’ai saisi l’occasion pour apprendre à Alpha – qui a eu dix ans avant-hier – comment on calculait la distance de la foudre. (Sur la route, que je sache, aucune voiture n’a fait de tonneaux.) Ce matin, il pleut encore, je crois, et il doit faire bien froid. Vais-je pouvoir, comme hier, livrer mes cinq heures de bûcheronnage ?
(Les tas de bûches s’élèvent ; le terrain est encore envahi de grandes branches coupées.)
Quel vieux vilain temps gris ! Je crois déjà avoir raconté, dans Touraine sereine (mais ne peux vérifier, faute de connexion), l’origine de cette phrase exclamative. Toujours est-il que, ce matin, dès huit heures, la journée annonce un vieux vilain temps gris, que ne soulagera que la verdure des arbres.
(Ajout du 28 septembre : paradoxe de la froidure en juillet, et de la chaleur fin septembre. Obsession de la verdure. Liens ajoutés bien sûr aujourd'hui, lors de la publication.)
10:29 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf, Ecrits intimes anciens, Hors Touraine, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (0)
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